Samedi, une présence dans le gouffre de l'impossible

Douces amies, doux amis,

Aujourd'hui, il n'y a pas de liturgie. c'est le seul jour de l'année qui est silencieux pour l'Eglise. Nous attendons. Un immense Sabbat. Le plus grand Sabbat du monde.

Un être tend le bras entre les vivants et les morts, et quelque chose s'opère dans nos profondeurs.. en silence.

Aujourd'hui, ce n'est pas une homélie que nous entendrons donc. Aujourd'hui, nous avons la chance d'entendre la méditation d'Emmanuelle Maupaumé, Soeur Auxiliatrice, dont la congrégation formule ce charisme particulier du Samedi Saint : être avec, être dans les espaces ''entre'', accompagner et être présentes aux frontières...

J'ai eu la chance de passer deux fois des samedi saints auprès d'elles, et ces deux moments m'ont beaucoup bouleversée par leur simplicité. J'espère que vous pourrez y goûter.

Emmanuelle propose une icône que vous pouvez contempler pendant la méditation si vous le souhaitez. Nous l'avons postée sur la page.

Je vous souhaire un samedi à la Source. Nous pouvons tenter de nous relier dans cette attente, peut-être y trouverons-nous les forces pour re-vivre ?

Affectueusement,

Claire, pour Oh my Goddess

 

 

Actualités

-Pour découvrir les auxiliatrices : https://auxiliatrices.fr/

-Un cadeau musical que j'ai entendu aujourd'hui, et qui marche pour tous les jours : Judith Chemla qui chante l'Ave Maria de Schubert dans Notre Dame (Désolée, ça a l'air d'être très conservateur comme actualité, surtout que c'est sur le site de bfm, mais pour une fois, ça me semble valoir le coup, sinon je ne me permettrais pas !)

 

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